Ces trois passagères de l’Est sont quatre : une vieille femme russe, une institutrice et une jeune mère en fuite. Et enfin la poète elle-même, passeuse de paroles. Le seul asile que je leur ai trouvé est le poème, nous confie Sylvie Durbec. Là où elles peuvent poursuivre leurs existences en compagnie. Et dans sa postface, James Sacré invite le lecteur à accueillir le moindre mot transporté d’est en ouest.
Ces trois passagères de l’Est sont quatre : une vieille femme russe, une institutrice et une jeune mère en fuite. Et enfin la poète elle-même, passeuse de paroles. Le seul asile que je leur ai trouvé est le poème, nous confie Sylvie Durbec. Là où elles peuvent poursuivre leurs existences en compagnie. Et dans sa postface, James Sacré invite le lecteur à accueillir le moindre mot transporté d’est en ouest.